Et si on faisait du feu sans allumettes ?

Dans notre société super technologique, on a complètement oublié comment faire du feu sans machine... Donc je me suis mis en quête de faire du feu avec deux bouts de bois ou avec deux pierres. J'ai vite abandonner la technique avec les pierres pour m'amuser avec des bâtons.

On trouve des choses passionnantes sur le web concernant le sujet. Notamment ce petit lien qui contient une vidéo impressionnante :

http://www.prehistoirepaca.com/autres.asp?id_autres=26

Du coup, je met quelques liens qui peuvent être plus explicatif.

• http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/prehistoire/d/prehistoire-experimentale-le-feu_526/c3/221/p9/

• http://books.google.com/books?id=NvEkCY-w-qgC&pg=PA49&lpg=PA49&dq=foret+a+archet+feu&source=bl&ots=YWUOxdX21u&sig=8_9SSgZ6w2uyOORtE04OYnoSLD4&hl=fr&ei=1TalSvuKG5CZjAfhrfmjDg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3#v=onepage&q=foret a archet feu&f=false

• http://www.davidmanise.com/forum/index.php?topic=16882.0

Après plusieurs essais ce WE, j'ai réussi par faire mon premier feu sans allumettes. Pour le bois, j'ai pris des bouts de laurier qui traînaient dans mon jardin et un peu de paille sèche qui traînait par là. Il m'a fallu pas mal d'essais avant d'avoir plusieurs fois de la sciure qui brûle et encore plusieurs fois avant de réussir à mettre le feu à la paille.

Les premières flammes sont cependant d'une grande satisfaction interne.

Par hasard, je suis tombé la dessus...

On peut penser ce que l'on veut mais on peut remercier les grands maîtres de la communication du CNRS pour nous avoir donné un nouveau logo.

L'objectif de ce logo est de plus coller au plan stratégique de l'institution, dixit le directeur de la communication du CNRS :

http://www2.cnrs.fr/presse/journal/4059.htm

Entres collègues, nous n'avions pas bien compris le but ultime du plan du CNRS, si c'était un sauvetage ou un dépeçage. En tout cas, le nouveau logo ne nous aidait en rien pour y comprendre quelque chose...

Et puis, avec un effet mirroir, je crois en effet qu'il colle parfaitement aux objectifs du plan stratégique guidé par le ministère.

Ajouter les paquetages backport dans Debian Etch

Une Debian Stable est stable. Les versions des logiciels ne varient pas. Cela peut devenir génant pour quelques paquetages au cours de la durée de vie d'une distribution. Par exemple, les dernières machines DELL avait besoin d'un noyau récent du type 2.6.18 pour fonctionner sous la Debian Sarge.

Pour activer les backport pour la distribution Etch, il suffit de rajouter la ligne suivante dans votre fichier /etc/apt/sources.list :

deb http://www.backports.org/debian/ etch-backports main contrib non-free

Cependant, les archives étant maintenant signées, il faut intégrer la clef du backport dans apt. Je n'ai pas trouvé de paquetage pour faire cela contrairement au dépot principal de Debian et à celui de Marillat où il suffit de faire :

apt-get install debian-archive-keyring debian-multimedia-keyring

Cela se réalise cependant assez facilement avec les commandes suivantes :

gpg --keyserver wwwkeys.eu.pgp.net --recv-keys EA8E8B2116BA136C
gpg --armor --export EA8E8B2116BA136C | apt-key add -

Il est maintenant possible de mettre à jour et d'installer des paquetages sans avoir de messages d'avertissements.

apt-get update
apt-get dist-upgrade

Dès que l'on joue avec les backport, il est fortement conseillé de jouer avec les 'Pinning' dans le fichier /etc/apt/preferences afin de limiter aux seuls paquetages que vous souhaité le passage au backport.

Le site du backport explique tout cela : http://www.backports.org/

Retrouver le dépot Marillat pour Debian Sarge

Depuis le passage de la Debian Stable de Sarge vers Etch, le dépot Marillat pour ce qui concerne le multimédia ne marchait plus. En effet, celui-ci a fait la transition sans vraiment prévenir ni proposer des solutions pour ceux qui sont encore sous Sarge. Or malgré la qualité de la distribution Etch, on ne migre pas un parc conséquent en quelques jours sans valider la migration.

Heureusement, il a été mis en place un dépot contenant les versions des logiciels dans l'archive debian-multimedia au moment de la transition. Il suffit de rajouter dans son fichier /etc/apt/sources.list la ligne suivante :

deb http://mirror.home-dn.net/debian-multimedia sarge main

Alors, votre machine a de nouveau accès aux outils multimédia qui n'étaient pas distribués dans l'archive principale.

Il y a plus de données sur le site http://debian-multimedia.org/

Complètement par hasard, j'ai trouvé une astuce dans le lecteur de courriel Thunderbird. En effet, j'avais déjà remarqué que suite à une combinaison de touches magiques, mes courriels étaient classés par jour en plus du classement par date.
Puis la semaine dernière, j'ai enfin pu détecter les touches fautives. Après essais, il s'avère qu'il s'agit de la seule touche 'g'.
Il suffit donc de classer ses courriels par date dans Thunderbird puis d'appuyer sur la touche 'g' pour avoir un classement par jour.
Je dois dire que je trouve cela fort pratique. Malheureusement les courriels de la veille ont tendance à partir encore plus vite aux oubliettes si je ne les traite pas rapidement !

Cela fait maintenant trois semaines que j'ai reçu mon premier GNU Linux magazine offert par le partenariat entre linuxfr et les éditions Diamonds. J'en ai pris pour un an d'abonnement grace à ma contribution au site. C'est mon libraire qui ne va pas être content. Il ne va me voir plus qu'un mois sur deux pour l'achat de MISC !

En tout cas, je remercie les personnes de dlfp qui m'ont choisis. Il faut dire que pour une fois, j'avais eu un gros coup de chance, personne ne s'était manisfesté pour annoncer la sortie d'une nouvelle version du module d'accélération kqemu de l'émulateur qemu, j'avais trois jour de retard. Peu importe, cette version est exceptionnelle puisque qu'elle propose la virtualisation complète du système d'exploitation hébergé, à la manière de Xen. Un vrai bonheur en terme de réactivité.
Depuis, je me suis amusé à utiliser un Windows XP (dont j'ai une licence) sous ma debian GNU/Linux avec les deux modes réseaux, le nat classique ou via un pont (bridge). Impressionant, avec le mode pont, ma machine virtuelle Windows apparaît sur le réseau au même titre qu'une autre machine réelle. Et c'est relativement stable, pas de plantage au bout de quinze jours. J'envisage sérieusement de remplacer un vieux Windows NT 4 qui fait serveur d'Antivirus par une machine virtuelle sous qemu !